RARE ! Mère Inde, l'auteure renommée Katherine Mayo, page signée à la main, COA

  

"Mother India" Page signée à la main par Katherine Mayo. Certifiée authentique par JG Autographs et accompagnée de leur lettre.

27, 1867 - 9 octobre 1940 était une historienne et nativiste américaine. Elle est entrée dans la sphère publique en tant qu'écrivaine politique plaidant pour le nativisme américain, s'opposant à l'immigration non blanche et catholique aux États-Unis.

Elle a également promu des stéréotypes racistes sur les Afro-Américains. Pour avoir dénoncé la Déclaration philippine pour des raisons religieuses, elle a ensuite publié et promu son œuvre la plus connue, Mother India (1927), un livre profondément critique sur la société, la religion et la culture indiennes. Écrite en opposition au mouvement pour l'indépendance indien, le livre a reçu un accueil très divisé lors de sa publication et a été accusé par plusieurs auteurs d'être indophobe, y compris Mahatma. Mayo est née à Ridgway, en Pennsylvanie, de James Henry et Harriet Elizabeth (Ingraham) Mayo, et a été éduquée de manière privée.

Après avoir obtenu son diplôme, elle a commencé à travailler en tant que chercheuse et historienne en aidant Oswald Garrison Villard du New York Evening Post, dont la biographie, Fifty Years After, une biographie de l'abolitionniste John Brown, a été publiée en 1910. Villard était un des fondateurs de la Ligue américaine anti-impérialiste et un membre du National Association for the Advancement of Colored People. Cela a influencé Mayo à devenir active dans plusieurs cercles de réformateurs sociaux. Elle est également devenue membre de la Mayflower Society et a maintenu des liens avec les Daughters of the American Revolution, qui partageaient à l'époque largement son hostilité envers les non-blancs.

Les premiers écrits de Mayo ont promu l'anticatholicisme et des vues racistes envers les personnes. Mayo a combiné l'anticatholicisme et le sentiment anti-filipin dans ses écrits qui s'opposaient à la Déclaration philippine. Les premiers travaux journalistiques de Mayo ont promu une version "anglo-saxonne" du nationalisme américain et contenaient des remarques xénophobes envers les immigrants irlandais, ainsi que des vues racistes sur les Afro-Américains.

Mayo affirmait que les "nègres" étaient sexuellement agressifs et manquaient de contrôle de soi, les rendant ainsi une menace pour les "innocentes femmes anglo-saxonnes". Mayo a mis ses compétences d'écriture au service de l'effort pour établir la police de l'État de New York et a soutenu leurs efforts pour réprimer les immigrants et les Afro-Américains dont l'implication dans les mouvements pour les droits du travail était considérée par Mayo comme une menace pour les blancs.